Le neurofeedback

Pour qui ?

Il n’y a aucune limite d’âge à l’utilisation du neurofeedback. Que vous soyez

– Enfant
– Adolescent
– Adulte
– Sénior

Avec le souhait de diminuer vos symptômes

– Physiques
– Emotionnels
– Cognitifs

Avec la volonté d’augmenter vos performances

– Intellectuelles
– Sportives
– Créatives

Le neurofeedback thérapeutique peut vous aider.

Chez les jeunes enfants, le rôle des parents est cependant très important.

L’observation, entre chaque rendez-vous, des évolutions de votre enfant est essentielle afin que je puisse adapter au mieux la séance. 

Pour quoi ?

Le neurofeedback peut vous aider si vous souffrez de:

De troubles physiologiques

insomnies, migraines, épilepsie, acouphènes, vertiges, douleurs chroniques, fatigue chronique, bouffées de chaleurs…

De troubles de l’humeur

états dépressifs, burn out

De troubles anxieux

peurs, anxiété, phobies, crises de panique

De troubles du comportement

Addictions, agressivité, impulsivité

De troubles cognitifs

Mémoire déficiente, problèmes d’attention ou de concentration

De troubles de l'apprentissage

Troubles DYS (dyslexie, dyscalculie, dyspraxie, dysorthographie, dysphasie)

TDA-H (trouble déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité)

Handicaps liés aux lésions cérébrales/vertébrales

Conséquences d'AVC,  de traumatismes crâniens, de lésions vertébrales

Etats de stress post traumatique

agit sur les reviviscences et les troubles somatiques associés

Le cerveau en chiffres, c’est 1.3kg, 86 milliards de neurones (au meilleur de ses capacités) et 10 000 milliards de connexions dans 1 cm3 de matière.

Le système nerveux est donc hautement interconnecté, et très excitable de par sa nature.

Pour maintenir sa stabilité, l’inhibition est donc fondamentale. Une grande partie des connexions du système nerveux est inhibitrice et une perte de contrôle à ce niveau conduit à de l’hyperexcitabilité et par extension à :

  • Des instabilités
  • De la réactivité

Le but du neurofeedback est d’améliorer la stabilité du fonctionnement cérébral en travaillant sur le contrôle interne ;

Une perte de contrôle se traduira par des symptômes paroxystiques (dont l’apparition est soudaine et brutales) comme lors de la survenue d’une crise de migraines, d’épilepsie, ou lors d’une attaque de panique.

Ces instabilités sont à différencier de la réactivité, qui correspond à une surréaction face à un déclencheur externe (impulsivité, crise de colère, phobie etc).

Les systèmes d’inhibition qui nous permettent de garder le contrôle de nos émotions par exemple, ne fonctionnent plus de manière optimale. La réaction au stimulus peut donc être très importante et non proportionnée.

A force d’entrainement, le cerveau deviendra donc plus stable, plus calme et sera capable de s’adapter plus facilement aux changements ; de passer sans difficulté d’un état d’alerte à un état de relaxation et inversement. Car un état d’éveil, d’alerte permanente, sans possibilité de revenir un état de calme facilitant la détente ou le repos peut conduire à de réels problèmes comme le burn out (épuisement physique, émotionnel et mental).

Le cerveau apprend à fonctionner avec :

Plus de stabilité

action sur les symptômes dont l’apparition est soudaine et aigüe (migraines, épilepsie, attaque de panique, terreurs nocturnes, acouphènes, bouffées de chaleur, douleurs etc)

Plus de flexibilité :

« capacité » de passer d’un état d’alerte (concentration et réactivité élevée) à un état de calme, essentiel pour le repos et le sommeil.

Plus de calme

diminution de la sur réaction à des déclencheurs externes (impulsivité, crise de colère, réactivité émotionnelle, pensées obsessionnelles, douleurs et tensions nerveuses et/ou musculaires...)